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Cyrano et Berlusconi / Monique Bacelli
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Au bout d'une trentaine de pages, le lecteur sent qu'il a affaire à un bon roman. Mais rien n'est encore dit ; l'auteur, parti d'un si bon pied, peut s'essouffler, le récit, dense mais léger, s'alourdir de digressions ennuyeuses. Il faut donc attendre la dernière page pour confirmer, ou infirmer, cette première impression favorable.
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 1125, 01 au 15 avril»
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