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"Le conformisme, on peut aussi le refuser" : Avec "Le Sourire de ma mère", Marco Bellocchio se libère enfin / Aurélien Ferenczi
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Il n'invite plus son psy sur les tournages, et a coupé le cordon avec sa jeunesse militante. Pourtant, le cinéaste reste obsédé par les hypocrisies de l'Italie berlusconienne, de la famille, de l'église.
Voir le numéro de la revue «Télérama, no. 2758, 2002-11-20»
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