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Patrice Leconte : "Le cinéma, c'est balèze, c'est un métier violent" / Aurélien Ferenczi
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Qu'il reçoive un césar ou prenne un bide, le cinéaste de "Ridicule" et des "Bronzés" a toujours refusé de s'enfermer dans un genre. Pour garder intact le plaisir de tourner.
Voir le numéro de la revue «Télérama, no. 2961, 2006-10-11»
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