0 avis
Espion naïf et sentimental (Un) : Portrait de John Le Carré / Percy Kemp
Article
Alors que la guerre froide faisait des blocs rivaux des ennemis irréductibles, la force d'un romancier comme Le Carré aura été dans ses romans d'espionnage de faire de l'amour, à l'instar d'un Shakespeare ou d'un Tolstoï, le principal ressort de l'Histoire.
Voir le numéro de la revue «Esprit, no. 294, 2003-05»
Autres articles du numéro «Esprit»