0 avis
"La Trilogie de la vie" de Pier Paolo Pasolini. Joie féroce / Marcos Uzal
Article
"Je suis scandaleux. Je le suis dans la mesure où je tends une corde, mieux, un cordon ombilical, entre le sacré et le profane", déclarait Pier Paolo Pasolini en 1970. Il serait bien court de réduire ce geste à du blasphème, ça n'est pas à cette religiosité ni à cette morale que répondait le cinéaste.
Voir le numéro de la revue «Cahiers du cinema, 769, Octobre 2020»
Autres articles du numéro «Cahiers du cinema»