0 avis
Entretien avec Pierre-Henry Gomont. Qui veut voler le cerveau d'Albert Einstein ? / Cathia Engelbach
Article
La "Fuite du cerveau" commence comme "Malaterre", par la mise en scène d'une "fin", c'est-à-dire la mort de l'un des personnages centraux. Pour quelle raison ? Je crois que la symétrie apparente de ces deux récits est en réalité fortuite ! Dans les deux cas, il s'agit bien d'une mort, mais dans "Malaterre", c'est un "flashforward", alors que dans "La Fuite du cerveau", c'est simplement le point de départ de l'histoire qui nous concerne, à savoir la destinée du cerveau du professeur Albert.
Voir le numéro de la revue «dBD, 146, Septembre 2020»
Autres articles du numéro «dBD»