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Laisse le temps défaire / Nicolas Vieillescazes
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Jean-Pierre Léaud porte des foulards dans Paris en noir et blanc. On entend des chansons de Fréhel ou de Piaf. Au lit, à la terrasse des Deux-Magots, ça parle sans cesse. Ça boit trop. C'est un film français de presque quatre heures sur l'impossibilité de l'amour. L'oeuvre la plus connue d'un "artiste maudit". Mais nul romantisme chez ce cinéaste de la répétition et de l'enfermement.
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