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Rugby dans l'art et la littérature (Le)
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Il fallait être anglais pour inventer le rugby. Qui d'autre aurait pu inventer un ballon ovale ? Ainsi parlait Mac Orlan. Comme Antoine Blondin qui était habité d'une " humeur vagabonde ", il aimait le rugby. Ils n'ont jamais joué dans la même équipe mais ils partageaient la même passion. Antoine y voyait les jeux du cirque de Rome, il réinventait les grandes batailles napoléoniennes ou devenait Léonidas aux Thermopyles tandis que Mac Orlan imaginait des épopées fantastiques. Antoine était magnifique, Albert Féraud, Ladislas Kijno, Gaston Bergeret, Nougaro étaient là. L'armée au grand complet. Sommaire. Pierre Mac Orlan, l'insaisissable. Le vieil homme et le perroquet. Extrait I, Mac Orlan parle de rugby : "Mon dernier essai". Le mystère du 10-7-2. Extrait II, Mac Orlan parle de rugby : "Mon dernier essai", suite. Tenue stricte de rigueur. Au-dessus de la mêlée. Des muscles et des camarades. Une drôle de diplomatie. La longue route du rugby féminin. Beauté en touche. Un mariage parfait. Le sport est-il soluble dans la littérature ? Des mauls d'amour. Dossier de 14 articles.
Voir le numéro de la revue «Sport et vie, HS 58, Juin 2023»
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