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On est lus à l'autre bout du monde / Marine Landrot
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Les étrangers se jettent sur nos romans, pour l'euphorie du livre qui fait-du-bien ou le frisson du polar. Les oeuvres moins faciles requièrent un travail de l'ombre. Celui des éditeurs, et des " scouts", dénicheurs de perles exportables. Sommaire. Les auteurs français ont la cote à l'étranger. L'automne allemand d'Edouard Louis.
Voir le numéro de la revue «Télérama, 3535, Mercredi 11 Octobre 2017»
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