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JR / Sabrina Silamo
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La légende est connue : en 2001. JR abandonne le graffiti en trouvant un appareil photo dans le métro. Il ne le lâchera plus. S'il continue à escalader des façades, ce n'est plus pour y taguer son nom, mais pour y coller les portraits d'anonymes. Quinze ans plus tard, le musée du Louvre donne carte blanche à celui qui se définit comme un "activiste urbain". Urbain certes, mais que reste-t-il de son activisme ?
Voir le numéro de la revue «Télérama, 3464, Mercredi 1 Juin 2016»
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