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La "Tante" bien-aimée de Thomas Bernhard / Patrick Roegiers
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Quand on ouvre un de ses livres, Bernhard voudrait qu'on s'imagine être dans un théâtre. Le rideau s'ouvre à la première page, le titre apparaît, les mots affluent et la lecture commence sans que l'on ne puisse s'arrêter avant d'avoir atteint la fin.
Voir le numéro de la revue «La Nouvelle revue française, 616, Janvier 2016»
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