0 avis
Eduardo Chillida, sculpteur / Georges Raillard
Article
A une série de sculptures des années 50, Chillida avait donné pour titre "Enclume de rêves" (Yunque de suenos). Ces mots de l'artiste basque - dont les carnets de notes et de réflexions ont été traduits par Claude Esteban - sont la plus précieuse ouverture à son oeuvre. Ils hantent l'exposition de la fondation Maeght à Saint-Paul-de- Vence où se plaisait ce "sculpteur devenu forgeron" (Gaston Bachelard).
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 1045, Septembre 2011»
Autres articles du numéro «La Quinzaine littéraire»