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Julien Gracq et le souci du latin / Cécilia Suzzoni
Article
Méfiant des héritages littéraires, admirateur des surréalistes, insensible aux ruines de Rome, Julien Gracq ne peut guère passer pour un nostalgique des langues anciennes. La langue latine est pourtant présente à travers son oeuvre, toujours liée à sa réflexion sur la langue française, aux potentialités de son expression, à sa rigueur et à sa créativité. En quoi cet attachement dépasse-t-il la singularité du lecteur et du styliste Gracq ?
Voir le numéro de la revue «Esprit, 371, Janvier 2011»
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