0 avis
Jouer à jouer ou la Disparité des apparences / Stéphane Wargnier
Article
Avec une élégante désinvolture, celle d'un artiste qui s'autorise tout (et même le reste) jusqu'à "jouer Dieu", Yves-Noël Genod fait, avec très peu d'argent, des spectacles grandioses. Prolifique et polymorphe, désespérément gai, capable de faire d'un rien une splendeur, il s'autoproduit tout un mois au Festival d'Avignon. Un "ouf" de théâtre - s - dans le "Off".
Voir le numéro de la revue «Mouvement, 56, Juillet-Août-Septembre 2010»
Autres articles du numéro «Mouvement»