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Maurizio Pollini, le pianiste qui relie les anciens et les modernes : "J'aimerais que le public gueule !" / Bernard Mérigaud
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Il passe, dans un même concert, de Shubert à Schönberg et de Chopin à Webern. Histoire de mieux révéler la "part de romantisme" des compositeurs contemporains. Une ambition qui exige un engagement fort de l'interprète... et des spectateurs.
Voir le numéro de la revue «Télérama, no. 2725, 2002-4-3»
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