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Marco Bellocchio
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Sans "Buongiorno, notte", loin de toute reconstruction "fidèle aux événements", Marco Bellocchio mélange fiction, documents télé, extraits soviétiques, choeurs partisans, ainsi qu'un fleuve de souvenirs personnels. Grâce au succès du "Sourire de ma mère", applaudi à Cannes en 2003 puis acclamé un peu partout dans le monde, le cinéaste a trouvé le courage pour s'épancher sur son propre parcours politique et sur celui de sa génération, en traitant rien de moins que la tragédie majeure de son pays : l'enlèvement et l'assassinat, de la part des Brigades rouges, du président de la Démocratie chrétienne Aldo Moro en 1978.
Voir le numéro de la revue «Positif, no. 516, 2004-02»
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