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Jacques Doillon
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Après trente ans et vingt-deux films, Jacques Doillon pourrait sembler un cinéaste "installé". Il ne l'est pas. Il n'est pas non plus abonné aux variantes de l'affect et du langage, ou, pire encore, limité à la raison sociale de "cinéaste des enfants".
Voir le numéro de la revue «Positif, no. 511, 2003-10»
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