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Enard, les guerres et l'universel / Omar Merzoug
Article
Ni la division en 24 chapitres, censée rappeler "L'Iliade", ni le style, ni les brimades infligées à la ponctuation ne donnent au lecteur le sentiment d'être en présence d'un "livre-culte". Aucune innovation formelle, aucune approche singulière de la réalité humaine ne s'y laissent percevoir. On n'y a rien trouvé qui relève du génie.
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 978, 16 Octobre 2008»
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