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Fortississimo / Ivan A. Alexandre
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En 1903, Claudine (alias Colette) assiste à un concert qui la révolte. "Nous écoutons, pour la dernière fois, le triste orchestre qui joue tout le temps fortissimo." Triste réputation d'une nuance qui n'est pourtant pas que raffut, qui a ses lettres de noblesse, sa belle histoire liée à la taille des salles, à la facture des instruments, aux progrès de la rumeur industrielle, à l'image du monde, du cosmos, de Dieu quelquefois.
Voir le numéro de la revue «Diapason, Harmonie, 712, Juin 2022»
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