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"Dilili à Paris", Michel Ocelot / Michel Roudévitch
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Nous avions quitté Michel Ocelot en 2016 avec "Ivan Tsarévitch et la princesse changeante", un recueil de contes en silhouettes animées, genre où il excelle et qu'il avait choisi à ses débuts, parce que c'était le moyen le plus économique de pratiquer l'animation. Il y a douze ans, pour son troisième long métrage, "Azur et Asmar", il découvrait les richesses de la 3D numérique, technique aux possibilités multiples qui s'est généralisée, mais qu'il a su plier à ses seuls désirs d'esthète. On le retrouve après six ans d'un travail tenace sur des thèmes qui lui tiennent à coeur : la civilisation, l'art, l'humanisme ... avec "Dilili à Paris". Derrière l'enlumineur, une fois de plus, l'homme en colère s'élève contre la bêtise, les superstitions, le racisme et les injustices faites aux femmes. Sommaire. La mille et unième métamorphose de Kirikou. Sommaire. La mille et unième métamorphose de Kirikou."Paris, c'est fini ? Vous allez voir ce que vous allez voir !" Entretien avec Michel Ocelot.
Voir le numéro de la revue «Positif, 692, Octobre 2018»
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