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Attila, prétendument barbare
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"On me craint, on me hait, on me nomme en tout lieu / La terreur des mortels et le fléau de Dieu." Corneille, en 1667, a bien résumé la situation. Et, jusqu'à récemment, il ne se trouvait personne pour le contredire. Epoque révolue ! Les historiens éclairent désormais d'autres angles : la culture, la diplomatie, la religion. Autant d'aspects considérés, pendant des siècles, comme incompatibles avec le cliché bien arrangeant d'un sauvage assoiffé de sang.
Voir le numéro de la revue «Historia [Paris], 796, Avril 2013»
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