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Bernanos, Gide, Green, Mauriac, Morand, spectateurs de cinéma / Paul Renard
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On déduit souvent de la condamnation du cinéma par Georges Duhamel ("divertissement d'ilotes") que les romanciers français de l'entre-deux-guerres partageaient son mépris. C'est faux pour Alexandre Arnoux, Claude Aveline, Pierre Bost, Robert Brasillach, Henry Poulaille, qui furent critiques de cinéma.
Voir le numéro de la revue «Positif, 595, Septembre 2010»
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