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Marco Bellocchio
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Depuis "La Nourrice"(1999) et "Le Sourire de ma mère"(2002), méditations sur l'enfermement familial, Bellocchio a affirmé un sens nouveau du récit maîtrisé dans toutes ses dimensions. Attentif à l'histoire récente avec "Buongiorno, notte"(2003), où il évoquait l'enlèvement d'Aldo Moro, et après l'élégie du metteur en scène de mariages (2006), il se plonge avec "Vincere" dans le passé proche de l'Italie : l'époque fasciste.
Voir le numéro de la revue «Positif, 585, Novembre 2009»
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