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La Portée du deuil / René Major
Article
Un nom propre inscrit sur une pierre tombale me rappelle que je me dois de porter le deuil. S'agit-il d'un devoir envers moi-même, d'un devoir qui m'oblige comme une dette, de la dette que j'ai contractée envers le disparu ? Ou puis-je concevoir que le devoir soit sans dette ? A qui, à quoi me dois-je ?
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 996, Juillet 2009»
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