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Leur nom est personne : Nuruddin Farah retrace le calvaire des réfugiés somaliens / Sophie Bourdais
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Depuis 1991, il ne fait pas bon être somalien. L'écrivain Nuruddin Farah a recueilli, du Kenya à la Suède, les récits de ses compatriotes privés de tout, même de leur identité.
Voir le numéro de la revue «Télérama, no. 2705, 2001-11-14»
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