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Naruse, du style et des larmes
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Un rétrospective à la cinémathèque sonne enfin l'heure de la reconnaissance pour Mikio Naruse, géant à l'égal d'Ozu, qui d'un genre très japonais, le drame ordinaire des petites gens, fit une oeuvre monumentale.
Voir le numéro de la revue «Cahiers du cinema, no. 553, 2001-01»
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