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Delon, l'antimoderne / Emmanuel Tellier
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Lorsque vous lirez ces lignes, tout aura été dit, écrit, vanté ou décrié : son charisme, sa beauté, ses rôles immenses (chez Melville, Verneuil, Visconti, Antonioni, Losey et tant d'autres), mais aussi sa vanité, sa fatuité parfois, son caractère de dogue allemand un jour de pluie. Pour tenter d'aller plus loin, "Marianne" a décidé de passer Delon au carbone 14. Résultat scientifiquement prouvé : il nous reste (au moins) quatre raisons de l'aimer pour toujours.
Voir le numéro de la revue «Marianne, 1432, 22 au 28 Août 2024»
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