0 avis
Eugène Green ou la constance baroque / Laurent Gayard
Article
Eugène Green joue avec la lumière comme un maître du clair-obscur, et avec la langue de notre quotidien comme si elle était celle de Pyrame et Thisbé, la découverte de son cinéma est un choc esthétique, visuel et auditif.
Voir le numéro de la revue «Revue des deux mondes (1982), 1-2-3, Février-mars 2016»
Autres articles du numéro «Revue des deux mondes (1982)»