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Jia Zhang-Ke "A Touch of Sin" : Le chant du shanxi
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Jia Zhang-ke, dès la fin de ses études à l'Académie du cinéma de Beijing a choisi de ne pas être un salarié de l'Etat. Il confirme ainsi, film après film, son indépendance de jugement dans un pays où pourtant toute incartade fait problème.
Voir le numéro de la revue «Positif, 634, Décembre 2013»
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