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Georges-Arthur Goldschmidt et son ombre / Laurent Margantin
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Depuis Le Miroir quotidien paru en 1981, c'est à une vaste et difficile entreprise autobiographique que se consacre principalement Georges-Arthur Goldschmidt. De manière paradoxale puisque, excepté La Traversée des fleuves , ces récits ne sont pas écrits à la première personne, mais à la troisième, comme s'il s'agissait pour lui de débusquer cet Autre inconnu qu'il n'a cessé, tout au long de sa vie, de pister comme un animal.
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 1042, 16 Juillet 2011»
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