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Requiem pour Bolano / Hugo Pradelle
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L'énorme livre posthume de Roberto Bolano pourrait s'inscrire sous ces mots qu'il écrivait dans "Des Putains meurtrières" : "On ne finit jamais de lire, même si les livres achèvent, de la même manière qu'on ne finit jamais de vivre, même si la mort est un fait certain."
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, 968, 1er Mai 2008»
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