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"J'ai tiré parce que je suis allemand..." / Nicole Casanova
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Un livre étrange, comme si un élément nouveau, la fatigue, avait amené Gunter Grass à se faire plus murmurant, plus subtil, plus bref, préférant à la grande symphonie héritée du romantisme, une sorte de fugue où les thèmes s'entrelacent, s'éloignent et resurgissent en un contrepoint parfaitement maîtrisé.
Voir le numéro de la revue «La Quinzaine littéraire, no. 841, 2002-11-01»
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